On voit, à l’entrée du jardin de Tarbes, cet écriteau :
IL EST DEFENDU D’ENTRER DANS LE JARDIN AVEC DES ROSES A LA MAIN
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On le trouve aussi de nos jours, à l’entrée de la littérature. Pourtant, il serait agréable de voir les filles de Tarbes (et les jeunes écrivains) porter une rose, un coquelicot, une gerbe de coquelicots.
Jean Paulhan