Notre avant-dernier mot/ serait un mot de misère,/ mais devant la conscience-mère/ le tout dernier sera beau.
Car il faudra qu’on résume/ tous les efforts d’un désir/ qu’aucun goût d’amertume/ ne saurait contenir.
Rainer Maria Rilke
Notre avant-dernier mot/ serait un mot de misère,/ mais devant la conscience-mère/ le tout dernier sera beau.
Car il faudra qu’on résume/ tous les efforts d’un désir/ qu’aucun goût d’amertume/ ne saurait contenir.
Rainer Maria Rilke