Il suffit que je joue le nocturne en ré bémol majeur de Chopin pour que je sois triste – c’est la vie. D’abord le désir, l’attente, l’incertitude, puis l’amour et la passion, puis une interrogation – (quand le thème revient la troisième fois) et une secousse énergique pour se libérer – et pour finir une triste résignation.
Alma Mahler, Journal intime
Extrait choisi par Isadora O.