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Dépouillant sa robe, Giton s’enveloppe de ma tunique, offre ses lèvres à ma bouche, et, pour que la mer envieuse ne puisse rompre un si doux embrassement, il nous attache l’un à l’autre dans les replis d’une ceinture et : – Que nul espoir ne nous reste ! Les vagues nous emporteront unis pour toujours. Peut-être, miséricordieusement, nous déposeront-elles sur un même rivage. Peut-être qu’un passant ému de furtive compassion nous jettera quelques pierres; enfin, suprême espoir, grâce aux flots insensés, l’arène [le sable] ondoyante nous ensevelira.

Pétrone

Nous appellerons images des choses les affections du corps humain, dont les idées représentent les corps extérieurs comme nous étant présents… et, quand l’esprit contemple les corps sous ce rapport, nous dirons qu’il imagine.

Spinoza